Côté… Souffrance

Le bien-être        

L’épanouissement au travail, l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée, la gestion de la performance sont désormais partie intégrante du bien-être au travail. Les entreprises prennent de plus en plus conscience de cette notion, afin d’apaiser, à défaut parfois de la supprimer totalement, la souffrance au travail.

Deux mots ont fait ainsi leur entrée dans le vocabulaire professionnel, déclassant en quelque sorte le fameux « burn-out ».

 

Le bore-out

Ce phénomène consiste à s’épuiser à la tâche, et plus encore quand  cette dernière n’est commandée ni par un collègue ni par un manager. Un travail sans travail en quelque sorte mais que certains s’inventent, histoire de tuer le temps en attendant que la journée se passe. Cet état concerne souvent les salariés mis au placard qui culpabilisent, perdent confiance et estime en eux. Résultat : à force d’être et de se sentir sous-employés, beaucoup tombent malades.

 

Le brown-out

Cette nouvelle pathologie dans le milieu professionnel vient –une fois de plus – de l’anglais et signifie « baisse de courant ». Pour éviter tout risque de surchauffe, l’intensité est coupée. C’est la chute de tension. Dans ce cas précis, le salarié s’épuise à trouver du sens à son travail. Le but –avoué ou caché- est de se faire plaisir, d’obtenir un résultat considéré comme important pour soi-même. Peu à peu l’impression d’avoir fait  le tour de son emploi domine, la démotivation s’installe, le travail n’a plus d’intérêt. La dépression pointe son nez.

 

Autant de syndromes de souffrance au travail dans une société où mettre la pression sur ses employés – qu’ils soient cadres ou pas- est jugée efficace et productive. Beaucoup pensent alors à changer de job et c’est l’occasion peut-être de mettre toutes chances de son côté. Pourquoi ne pas parfaire son anglais ou autre langue étrangère ? Sur un CV, cela reste toujours un + !

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